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Les parquets du pays ont ouvert en 2017 quelque 517 dossiers pour des agressions sexuelles ou viols au sein d'un couple, soit dix par semaine, écrit De Morgen jeudi. Les experts invoquent une prise de conscience.
En trois ans, le nombre de dossiers a augmenté d'un cinquième. Mais cette hausse ne signifie pas nécessairement une augmentation des faits. Selon l'experte en violence conjugale Helen Blow, elle est surtout la conséquence d'une prise de conscience à la suite du phénomène #metoo.
"Les gens admettent que les agressions et viols ne sont pas tolérables, même au sein d'un couple", dit-elle au quotidien.
