Action de féminisation des stations de métro bruxellois du collectif "Noms peut-être", en mars 2019.
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Action de féminisation des stations de métro bruxellois du collectif "Noms peut-être", en mars 2019. © Noms peut-être / Vrouwen de straat op

“À nous la rue”: les femmes sont encore trop peu représentées dans l’espace public

L’espace public est encore trop souvent imprégné de l’aura masculine. Il suffit de lever les yeux et de lire les noms inscrits sur les plaques de rue, la plupart sont des patronymes d’hommes. Peu de rues, d’arrêts de bus, d’édifices rendent hommage aux femmes, aux personnes queer ou racisées. Plusieurs collectifs, associations, militants et artistes entendent lutter contre cette injustice. Pour les aider à féminiser l’espace public, et à quelques jours de la Journée internationale des femmes (8 mars), la secrétaire d’État à l’Égalité des chances, Sarah Schlitz, lance l’appel à projet “À nous la rue”.

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    L'alarme mobile pour les victimes de harcèlement est désormais disponible dans la capitale, plus précisément sur le territoire de la zone de police Bruxelles-Ixelles. Ce bouton discret, qui permet aux victimes les plus à risque d'appeler à l'aide sans attirer l'attention de leur agresseur, a été présenté mercredi au commissariat central en présence des ministres de l'Intérieur Annelies Verlinden, de la Justice Vincent Van Quickenborne, de la secrétaire d'État à l'Égalité des genres Sarah Schlitz et des bourgmestres d'Ixelles Christos Doulkeridis et de Bruxelles-Ville Philippe Close.