"Le dossier ne sera pas clôturé"

Selon la famille de la victime, les responsables de l'assassinat sont à chercher au sein de l'ancienne gendarmerie, mais trop peu de moyens sont mis en oeuvre par la police judiciaire fédérale de Gand. Ce que nie l'avocat général. "En l'espace d'un an, 7.000 heures ont été consacrées à l'enquête et deux personnes s'en chargent à temps plein. Toutes les pistes sont étudiées, également celle d'un règlement de compte en interne", a-t-il expliqué.
 
L'enquête n'a pas encore abouti pour l'instant, a indiqué M. Schuermans. "La prescription n'est pas encore à l'ordre du jour et nous poursuivrons jusqu'à ce que nous ayons trouvé les auteurs.
 
Les parties civiles n'ont pas eu accès au dossier au cours des deux dernières années, mais nous travaillons dur.
 
Récemment, certaines agents ont été soumis au test du polygraphe, ce qui prouve que la piste du règlement de compte en interne est prise au sérieux. Il n'est pas question de mettre fin à l'enquête", a-t-il conclu. (belga)