Lors des émeutes à Anderlecht, l'un des fauteurs de troubles avait pu voler l'arme de service d'un policier et avait tiré plusieurs coups de feu, sans toutefois toucher personne.
Plein écran
Lors des émeutes à Anderlecht, l'un des fauteurs de troubles avait pu voler l'arme de service d'un policier et avait tiré plusieurs coups de feu, sans toutefois toucher personne. © Belgian_Freelance

Le jeune qui avait volé l'arme d'un policier lors des émeutes à Anderlecht s'est rendu

L'homme qui avait volé l'arme de service d'un agent le 11 avril dernier, lors d'émeutes à Anderlecht, s'est lui-même rendu à la police jeudi, indique son avocat Yannick De Vlaeminck, confirmant une information de Sudpresse. L'individu, âgé de 18 ans, est actuellement entendu et sera ensuite, selon toute vraisemblance, mis à la disposition du parquet de Bruxelles.

  1. Pascal Smet se pose des questions sur l'action de la police après les émeutes à Anderlecht

    Pascal Smet se pose des questions sur l'action de la police après les émeutes à Anderlecht

    Le secrétaire d'État bruxellois Pascal Smet (one.brussels-sp.a) s'est interrogé, dimanche lors d'une publication sur sa page Facebook, sur la poursuite de la police qui a mené au décès d'un jeune Anderlechtois de 19 ans. L'incident a conduit à des émeutes dans la commune durant le week-end. Selon lui, ces émeutes indiquent qu'une autre approche est nécessaire à Anderlecht. Son commentaire a été critiqué par le syndicat de la police SLFP.
  2. De Crem sur les émeutes: “Des jeunes qui ne peuvent pas fonctionner selon nos normes et valeurs”

    De Crem sur les émeutes: “Des jeunes qui ne peuvent pas fonction­ner selon nos normes et valeurs”

    Le ministre de l'Intérieur Pieter De Crem a qualifié les émeutes du week-end à Anderlecht de "totalement inadmissibles". Il a indiqué dimanche soir sur VTM Nieuws que ces émeutes n'avaient rien à voir avec les mesures contre le coronavirus et rien non plus avec le décès d'un jeune homme de 19 ans vendredi. Les émeutiers ont abusé de cet évènement dramatique pour "créer des troubles", a-t-il souligné.
  3. La colère des syndicats de police après les émeutes à Bruxelles: “Certains politiques choisissent le camp des bandes de jeunes”

    La colère des syndicats de police après les émeutes à Bruxelles: “Certains politiques choisis­sent le camp des bandes de jeunes”

    La place Bethléem, à Saint-Gilles, a été le théâtre d’émeutes mardi soir, vers 21h00. Deux policiers ont été blessés et sont en incapacité de travail plusieurs jours. Les deux principaux syndicats policiers du pays, le SLFP et le SNPS, montent au créneau dans la presse flamande et dénoncent le laxisme de certains élus politiques, principalement à gauche. “Ils choisissent systématiquement le camp des bandes de jeunes”.