Trois policiers sanctionnés pour avoir joué au casino en ligne
La Commission des jeux de hasard a identifié lors de contrôles une douzaine de policiers joueurs. Trois d'entre eux, les premiers, ont été sanctionnés pour avoir joué à des jeux de casino en ligne, sur des comptes ouverts avec l'identité de tiers et avec du matériel informatique de la police, rapportent jeudi La Dernière Heure, De Morgen et Het Laatste Nieuws.
Partager par e-mail
Un des policiers jouait depuis quatre ans, un autre jouait 1.500 euros tous les mois, précise la DH. Une policière encourait elle jusqu'à 60.000 euros d'amende administrative pour avoir ouvert un compte sous le nom de sa mère. Elle a joué 56.300 euros lors de 668 sessions de jeux en ligne, et 87 supplémentaires entre août 2015 et juin 2016, depuis des ordinateurs avec des adresses IP de la police. Elle a reconnu que le jeu avait "ruiné sa carrière" et a finalement écopé d'une amende administrative de 5.000 euros.
Une autre sanction a été prise par un policier qui a joué 86 fois pendant le mois de la Coupe du Monde, en usurpant l'identité de son beau-père. Il s'est vu infliger 208 euros. Enfin, un policier s'était servi du nom de sa sœur pour jouer en ligne entre juin 2014 et avril 2018, dont depuis un commissariat. Il a été condamné à 350 euros. Il s'agit des trois premiers policiers sanctionnés pour avoir joué en ligne. Neuf autres suivront. La loi du 7 mai 1999 interdit formellement les jeux de hasard aux policiers.
Gratis onbeperkt toegang tot Showbytes? Dat kan!
Log in of maak een account aan en mis niks meer van de sterren.Aussi dans l'actualité
-
Trois adolescents se crashent en voiture, un mort et un blessé grave
-
Variants du virus: quelles mesures sur la table?
La Belgique devrait, selon toute vraisemblance, prendre des mesures supplémentaires pour freiner la propagation des variants sud-africain mais surtout britannique de la Covid-19. Voici ce qui se trouve sur la table des autorités. -
Une policière raconte l’agression de sa collègue lors des émeutes: “Ils voulaient la tuer”
Une policière sur le front lors des émeutes qui ont suivi la manifestation en hommage au jeune Ibrahima à Schaerbeek et Saint-Josse-ten-Noode mercredi raconte l’enfer qu’elle a vécu ce jour-là. Et comment elle a assisté, impuissante, à la violente agression subie par l’une de ses collègues, rouée de coups par plusieurs jeunes hommes. “J’ai cru qu’elle allait mourir”, confie anonymement cette policière à VTM Nieuws. -
Un conducteur de quad grièvement blessé par un câble sciemment tendu entre deux arbres
Un conducteur de quad a été blessé samedi par une chaîne tendue en travers d’un chemin sur l’ancienne ligne de chemin de fer entre Braine-Le-Comte et Enghien. La police de Haute-Senne a indiqué dimanche que le chaîne restait introuvable. -
Près de 10.000 personnes dans les Fagnes mais tout s'est bien passé
Environ 10.000 personnes ont profité des paysages enneigés des Fagnes ce dimanche, a indiqué Jean-Paul Bastin, le bourgmestre de Malmedy qui assure que le dispositif mis en place pour éviter l’anarchie de la fin d’année est efficace.
-
mise à jour Le CHwapi victime d'une cyberattaque
Le ChWapi, le centre hospitalier de Wallonie picarde de Tournai, a été victime d’une attaque informatique. Toutes les opérations non urgentes ont été annulées ce lundi. Aucune demande de rançon n’a été demandée, selon le service de communication. -
Mise à jour Le variant britannique fait des ravages, deux écoles fermées: “Il est si contagieux qu'on ne peut pas l'arrêter”
La souche britannique du coronavirus inquiète particulièrement les experts. Deux écoles en Flandre ont été touchées et ont décrété une quarantaine pour les élèves et le personnel. Au total, 2.000 familles environ sont concernées. Selon Herman Goossens, microbiologiste à l’université d’Anvers, ce variant est à ce point contagieux qu’on ne peut qu'essayer de le ralentir, mais pas le stopper. “C'est une véritable course contre la montre et nous devons vacciner en masse le plus tôt possible pour le devancer”, déclare le spécialiste à Het Laatste Nieuws. -
Une société de Charleroi étend ses services aux États-Unis
OncoDNA est une société privée de technologies de la santé et de médecine de précision centrée sur l’oncologie. Basée au BioPark à Gosselies (Charleroi) et présente dans cinq pays différents, elle avait racheté Integragen en France. Maintenant, l’entreprise belge tisse sa toile au-delà de l’Europe.