En conférence de presse, c’est un Alexander De Croo satisfait qui s’est présenté devant les journalistes. Le Premier ministre a baptisé l'accord “thé au gingembre”.
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En conférence de presse, c’est un Alexander De Croo satisfait qui s’est présenté devant les journalistes. Le Premier ministre a baptisé l'accord “thé au gingembre”. © BELGA

Une mesure “étiquetée GLB” balayée in extremis, le coup de sang de Vandenbroucke: les coulisses de l’accord “thé au gingembre”

BudgetLes discussions entre partenaires de la Vivaldi pour parvenir à un accord sur la trajectoire budgétaire ont été musclées, c’est le moins qu’on puisse écrire. Au final, le gouvernement s’est accordé sur 1,8 milliard d’économies supplémentaires à l’horizon 2024, ce qui correspond à 0,3% du PIB. Chaque parti a dû faire des concessions. Une mesure en particulier aura pourtant cristallisé les tensions entre PS et le MR. Explications.

  1. Le conflit entre Dupuis et Isabelle Franquin autour du nouvel album de Gaston Lagaffe perdure

    Le conflit entre Dupuis et Isabelle Franquin autour du nouvel album de Gaston Lagaffe perdure

    Les interprétations divergent quant à la lecture de l’arbitrage autour du nouvel album de Gaston Lagaffe, ont expliqué mercredi les conseils d’Isabelle Franquin, fille unique du dessinateur. Dupuis estime avoir l’autorisation de sortir cette BD, dessinée par Delaf, alors que la détentrice du droit moral du travail d’André Franquin dit ne pas avoir eu de droit de regard sur le projet final. Il s’agit pourtant d’une condition du contrat de cession signé par l’auteur en 1992, ont dénoncé les conseils d’Isabelle Franquin.
  2. “Il n’a renoncé qu’à mourir, pas à commettre un attentat”: pour le parquet, le rôle d’Abrini est central
    Procès des attentats de Bruxelles

    “Il n’a renoncé qu’à mourir, pas à commettre un attentat”: pour le parquet, le rôle d’Abrini est central

    Mohamed Abrini doit être reconnu comme membre d’un groupe terroriste et comme co-auteur des attentats du 22 mars 2016, a considéré mardi le parquet fédéral, devant la cour d’assises de Bruxelles. Il a présenté cet accusé comme un “membre de la première heure” de la cellule djihadiste responsable des attaques ayant coûté 32 vies et fait des centaines de blessés dans le métro bruxellois et à l’aéroport de Zaventem. Quant au renoncement de celui-ci, en dernière minute, à actionner sa bombe, le ministère public n’en a pas fait grand cas. Selon lui, renoncer à se faire lui-même exploser n’équivalait pas à renoncer à commettre les attentats.