La fermeture des frontières doit être le “dernier recours”: “Nous avons d'autres mesures”
Fermer les frontières pour arrêter la propagation du coronavirus et de ses variantes doit être le dernier moyen de sauvetage, a affirmé mercredi la ministre de l'Intérieur Annelies Verlinden. "Nous avons d'autres mesures aujourd'hui, telles que les tests et la quarantaine", a déclaré la ministre, interrogée au cours du Journal Télévisé de la VRT.
Partager par e-mail
"La fermeture des frontières comporte un certain nombre d'inconvénients importants", a détaillé la ministre, évoquant les personnes qui vivent et travaillent des deux côtés de la frontière, ou les personnes qui exercent la co-parentalité de part et d'autre.
"Dans le contexte européen, nous avons convenu de ne pas le faire unilatéralement. Nous devrons examiner cela, mais ce n'est pas la voie privilégiée", a ajouté la ministre.
Mme Verlinden a également suggéré qu'un comité de concertation puisse se réunir déjà au cours des prochains jours pour évaluer la situation. La prochaine réunion n'est prévue, au stade actuel, que le vendredi de la semaine prochaine. Cependant, rien de concret n'a encore été convenu à ce propos, a indiqué le cabinet de la ministre interrogé à ce propos.
LIRE AUSSI
Gratis onbeperkt toegang tot Showbytes? Dat kan!
Log in of maak een account aan en mis niks meer van de sterren.Aussi dans l'actualité
-
Nouvel appel à l'aide de la culture devant la Monnaie à Bruxelles
En chanson, en sketch ou en slam, plusieurs artistes ont exprimé leur détresse, samedi dès 17h30, devant les grilles fermées du Théâtre de la Monnaie à Bruxelles, symbole d'un secteur en crise depuis des mois. Les artistes ont dénoncé, en spectacle, l'inégalité de traitement que subi, selon eux, le secteur culturel depuis la crise du coronavirus. -
Victoria, étudiante de 18 ans, parle de la souffrance de sa génération: “Nous sommes prêts à respecter vos mesures, mais permettez-nous de revivre”
Victoria, étudiante de 18 ans à l’ULB, a partagé un véritable appel à l’aide sur Facebook. Dans une lettre ouverte, elle évoque l’impact psychologique des cours à distance et redoute un nouveau confinement. “J’évite de parler de dépression et de suicides, mais s’il faut encore confiner, limiter les contacts et rajouter des mesures, vous devez vous y attendre”, écrit-elle. -
Les signes convictionnels autorisés en septembre dans l'enseignement supérieur
Alors que les signes convictionnels étaient interdits jusqu'ici dans l'enseignement officiel organisé par Wallonie-Bruxelles Enseignement (WBE), "ils seront autorisés sauf restrictions à partir de septembre 2021", a déclaré Julien Nicaise, administrateur général de WBE, dans La Libre et La Dernière Heure samedi. -
La police demande à bénéficier d'une priorité pour la vaccination
La police intégrée a réclamé vendredi à la Chambre que ses agents, et certainement ceux présents sur le terrain, soient en priorité vaccinés contre le coronavirus. -
Prolongation des mesures jusqu’au 1er mars: une publication au moniteur en catimini très critiquée
La ministre de l'Intérieur Annelies Verlinden a reconnu mercredi sur les ondes de la VRT radio que la communication sur la prolongation jusqu'au 1er mars prochain des mesures corona aurait pu être meilleure.
-
Les mesures bruxelloises également prolongées jusqu’au 1er mars
Le ministre-président bruxellois Rudi Vervoort a décidé de prolonger les mesures bruxelloises jusqu’au 1er mars prochain, en addition aux mesures fédérales, a-t-il indiqué mercredi en fin de matinée. Cette décision a été prise “à la suite de l’analyse de la situation épidémiologique qui demeure inquiétante et précaire en Région bruxelloise mais aussi en Belgique”, a-t-il justifié. -
Près de 10.000 personnes dans les Fagnes mais tout s'est bien passé
Environ 10.000 personnes ont profité des paysages enneigés des Fagnes ce dimanche, a indiqué Jean-Paul Bastin, le bourgmestre de Malmedy qui assure que le dispositif mis en place pour éviter l’anarchie de la fin d’année est efficace. -
Marc Van Ranst: “Il n’y aura pas d'assouplissement avant deux mois au moins”
Selon Marc Van Ranst, même si la vaccination s’accélère, il n’y aura pas de relâchement des mesures avant deux mois.