Des perspectives attendues pour l’Horeca et les métiers de contact: “C'est nécessaire”
Le ministre des Finances Vincent Van Peteghem (CD&V) a indiqué ce matin sur Bel RTL que le Comité de concertation devrait donner des perspectives pour les secteurs mis sous cloche depuis plus de trois mois, notamment l’Horeca et les métiers de contact.
Partager par e-mail
Néanmoins, que les coiffeurs, esthéticiennes et autres patrons de cafés et de restaurants ne se réjouissent pas trop vite: aucune date de reprise ne devrait être annoncée vendredi, prévient le ministre Van Peteghem.
En revanche, ces commerçants, interdits (ou en partie) de travailler depuis plus de trois mois maintenant, devraient, si tout va bien, obtenir ce qu’ils réclament depuis de nombreuses semaines: des perspectives, et ce afin de pouvoir prévoir quelque peu leur avenir à court et moyen terme.
Outre des mesures renforcées en ce qui concerne les voyages, une “stratégie d’exit” ou calendrier d’assouplissement se trouve également sur la table des autorités qui se réunissent à nouveau ce vendredi. “Il est nécessaire de donner des perspectives”, a souligné Vincent Van Peteghem en faisant allusion aux secteurs mis sous cloche depuis des mois.
Gratis onbeperkt toegang tot Showbytes? Dat kan!
Log in of maak een account aan en mis niks meer van de sterren.Aussi dans l'actualité
-
Le cri du coeur de l’horeca: “Vous nous laissez mourir à petit feu”
À la veille d'un comité de concertation et après une "année horrible", la Fédération Horeca Bruxelles appelle jeudi à l'aide le gouvernement régional. "Nos hôtels bruxellois ont perdu plus de 75% de leur chiffre d'affaires, 80% d'entre eux sont fermés. Les touristes ont déserté la capitale", déplore la Fédération dans un communiqué. -
La CNE exige un accord non marchand pour les secteurs de l’Enfance et de l’Aide à la jeunesse
Ce mercredi 24 février, la CNE formera une caravane d’une dizaine de véhicules et ira à la rencontre des professionnels des secteurs de l’Aide à la jeunesse, de l’accueil de l’Enfance et du socio-culturel afin de les mettre sous les feux des projecteurs et de rendre visible “le rôle essentiel qu’ils jouent dans notre société”. -
La bourde monumentale d’une banque américaine
-
Le patron d’un restaurant jette ses factures sur la table: “Cela ne peut plus durer”
Le patron d’un salon de thé bien connu de la Côte a partagé une photo montrant les factures du dernier trimestre de l’année dernière qu’il doit malgré tout payer alors que son chiffre d’affaires est considérablement moins élevé depuis plusieurs mois. -
Quelle couverture votre assurance auto ne propose-t-elle pas? Et que couvre-t-elle bel et bien?
Vous venez d’acheter une voiture neuve. Félicitations ! Vous ne savez pas quel type d’assurance choisir ? Pas de panique ! Independer.be vous l’explique.
-
Les syndicats réclament une hausse des salaires: plusieurs actions menées en province de Liège
Ce jeudi 25 février, des actions seront menées dans tout le pays, notamment à Liège, Verviers et Eupen, pour réclamer une hausse des salaires permettant aux travailleurs et travailleuses de vivre dignement. -
L'horeca bruxellois au Mont des Arts pour réclamer plus d'aides de la Région
Des représentants de l'horeca bruxellois - cinquante maximum, mesures sanitaires obligent - se sont rassemblés vendredi à 15h00 au Mont des Arts pour dénoncer l'insuffisance des aides financières de la Région-capitale. Autour du Collectif "Union Horeca Bruxelles", ils ont déployé une bâche géante "Commerces à remettre" au nom des quelque 600 brasseries et cafés signataires, pour attirer l'attention des politiques. -
mise à jour
“Bien sûr il y aura des faillites dans l’horeca, est-ce grave?”: la sortie du CEO de Belfius ne passe pas
Marc Raisière, patron de Belfius, a fait une sortie plus que remarquée dans le Trends-Tendances. Il parle des faillites à venir dans le secteur Horeca en 2021. Les bars, restaurants et autres cafés sont fermés sur décision gouvernementale: ils sont tenus pour responsables de la propagation du coronavirus. Marc Raisière déclare: “Bien sûr qu’il y aura des faillites! Mais n’avions-nous pas trop de cafés et de restaurants en Belgique? Étaient-ils tous rentables (...) sans avoir recours au noir? (…) Les économies ont de temps à autre besoin d’une vague d’assainissements. Les entreprises zombies (ces entreprises dont les actifs ne couvrent pas les dettes, NdlR) vont disparaître. Est-ce grave? Pour leur propriétaire et leur personnel, certainement, mais pas pour l’économie. D’autres naîtront sur leurs cendres.”