Nethys: Integrale a un nouveau président
Le conseil d'administration d'Integrale a "pris acte" de la démission de Michel De Wolf et nommé Frank Jeusette pour le remplacer, annonce la compagnie d'assurances mercredi.
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"Le conseil a procédé à l'unanimité de ses 15 membres à la nomination de Monsieur Frank Jeusette comme président du conseil d'administration, de Madame Els Lievens comme première vice-présidente et de Monsieur Gérald Scheepmans comme second vice-président, dès son agrément par la BNB", selon un communiqué.
Michel De Wolf reste administrateur indépendant.
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Versement de 5,7 millions à une filiale de Nethys: Enodia va étudier la situation
Le conseil d'administration de l'intercommunale Enodia (ex-Publifin) ajoutera à son prochain ordre du jour un point concernant la rémunération des dirigeants de la compagnie d'assurance Integrale, filiale de Nethys, pour étudier la situation, a réagi la maison-mère de Nethys après des révélations du journal Le Soir. La prochaine réunion du conseil d'administration d'Enodia est fixée au mercredi 15 janvier. -
Millions distribués par une filiale de Nethys: “La tutelle ne doit pas s’exercer”
Les montants versés par l'assureur liégeois Intégrale à ses dirigeants - on parle de quelque 5,7 millions d'euros, ndlr - sont "outranciers" et "ne se justifient absolument pas" par la charge de travail, a estimé mardi le ministre wallon des Pouvoirs locaux, Pierre-Yves Dermagne (PS), interrogé sur les suites du dossier Nethys en commission du parlement régional. Pour autant, a-t-il ajouté, la tutelle ne doit pas s'exercer sur l'assureur que le gouvernement s'est évertué à faire sortir du champ d'application du décret gouvernance. -
mise à jour Une filiale de Nethys a aussi distribué des millions
L'assureur liégeois Integrale, filiale de Nethys, a promis 5,7 millions d'euros à ses dirigeants pour les inciter à rester dans l'entreprise lorsque leurs salaires ont dû être plafonnés, rapporte Le Soir lundi. -
Pierre-Yves Dermagne: “L’affaire Nethys laissera des traces”
Dans les mois à venir, la Wallonie ne pourra pas faire l'économie d'une évaluation de ses décrets gouvernance, adoptés au printemps 2018 pour répondre au scandale Publifin et remettre de l'ordre dans les structures publiques régionales. C'est en tout cas la conviction du ministre wallon des Pouvoirs locaux, le socialiste Pierre-Yves Dermagne, plongé depuis le tout début de la législature dans les affres du dossier Nethys, filiale d'Enodia, le nouveau nom de Publifin. -
“Le plan de relance est un accord équilibré”, estime Elio Di Rupo
L'accord conclu lundi soir entre le fédéral et les entités fédérées sur le "Plan de relance et de résilience" et la répartition des subsides européens constitue "un accord équilibré qui donne un ordre de grandeur au sein duquel chaque entité doit désormais définir ses priorités", a affirmé le ministre-président wallon, Elio Di Rupo, mardi, en commission du parlement régional.
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Mise à jour Le décret gouvernance wallon est “partiellement inconstitutionnel”
Le décret gouvernance wallon, adopté en 2018 sur les cendres du scandale Publifin, est “partiellement inconstitutionnel en ce qu’il organise un contrôle sur les entreprises d’assurances détenues à plus de 50% par une intercommunale ou une ou plusieurs filiales de celle-ci”, peut-on lire dans l’arrêt rendu jeudi après-midi par la Cour constitutionnelle. Celle-ci a dès lors annulé une série d’articles, mais uniquement lorsqu’ils s’appliquent aux compagnies d’assurance. Pour le reste, la plupart des autres moyens avancés par Intégrale ont été rejetés. -
Stéphane Moreau se fait saisir 8 millions d'euros par la justice
À la demande de la nouvelle direction de Nethys (Renaud Witmeur et Laurent Levaux), la justice a fait geler un peu plus de 11 millions d'euros sur les comptes de Stéphane Moreau, Pol Heyse et Bénédicte Bayer, tous les trois anciens dirigeants de l'intercommunale, rapporte L'Echo mardi. -
Le Bel 20 de la Bourse de Bruxelles recule de plus de 8% en 2020
Une année n'est pas l'autre. Alors qu'il avait terminé 2019 sur un gain de plus de 20% et entamé la nouvelle année sur les chapeaux de roue, le Bel 20 a finalement bien mal terminé la décennie. L'indice vedette de la Bourse de Bruxelles achève 2020 sur une baisse de 8,46%. Une "performance" à laquelle la pandémie de Covid-19 n'est bien sûr pas étrangère.