Les larmes de Madame Leekens: "Sincère et vrai"

Ce fut l'une des images émouvantes de la soirée, Madame Leekens n'a pu retenir ses larmes en voyant la réconciliation entre son mari et le président de l'Union belge, François De Keersmaecker. Kathleen Dhondt, de son nom de jeune femme, reconnaît qu'elle a complètement craqué, tout en précisant que ce n'était pas joué.

"Ma réaction était sincère et vraie", confie-t-elle dans Het Laatste Nieuws. "Lorsque Georges et le président se sont enlacés, j'ai vu défiler les images des derniers mois: à ce moment-là de la joie, de la délivrance, du soulagement. A d'autres moments, la souffrance et l'inquiétude. J'ai essayé de retenir mes larmes, mais j'ai craqué...", explique-t-elle dans Het Laatste Nieuws.

Leekens: "Aucune mise en scène"
Même si son mari semble avoir une carapace pour se protéger du monde extérieur, Kathleen elle n'est pas imperméable aux critiques et a du mal à maîtriser ses émotions. "J'étais déjà allée à la cérémonie avec une certaine appréhension car je savais que j'allais y revoir des gens de l'équipe nationale et de Bruges. Je savais que je serais mal à l'aise. A peine rentrés, nous avons croisé Philippe Collin. Après,
Monsieur De Keersmaecker. Là, j'ai su contenir mes émotions, mais pas pendant la cérémonie...", prolonge-t-elle.

Quant à "Long Couteau", il est très fier de sa femme et ne s'en cache pas. "La séquence vidéo au Stade Roi Baudouin était prévue, mais le reste n'était pas mis en scène. Tout à coup, quelqu'un de la production est venu vers moi pour me demander si je voulais serrer la main du président. Tout s'est passé si rapidement et dans la précipitation que ma femme et moi n'avons pu contenir nos émotions. Les larmes de Kathleen avait quelque chose d'authentique", termine l'ex-sélectionneur national.

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