photo_news
Plein écran
© photo_news

Le procureur requiert la dissolution de l'Église de scientologie belge

UpdateLe procureur fédéral Christophe Caliman a requis, mercredi, devant le tribunal correctionnel de Bruxelles, la dissolution pure et simple de l'ASBL Eglise de scientologie de Belgique. Le Bureau européen de la scientologie, l'ASBL Eglise de scientologie de Belgique et onze de ses membres sont prévenus entre autres de pratique illégale de la médecine, d'escroqueries et d'organisation criminelle.

  1. "Je n'ai forcé personne à travailler pour l'Eglise de scientologie"
    Update

    "Je n'ai forcé personne à travailler pour l'Eglise de scientolo­gie"

    La prévenue Jeannine V., ancienne directrice de l'Eglise de scientologie de Belgique, a affirmé, lundi, devant le tribunal correctionnel de Bruxelles, qu'elle n'avait obligé personne à travailler pour l'Eglise. Il lui est reproché d'avoir publié de fausses offres d'emploi, en 2007 et 2008. Selon l'accusation, ces annonces ne mentionnaient pas le lien avec l'Eglise de scientologie et ne précisaient pas que le travail n'était pas rémunéré.
  2. L'électromètre, un "objet rituel sacré"
    Scientologie

    L'élec­tromè­tre, un "objet rituel sacré"

    Marco Ventura, professeur de droit à l'université de Sienne en Italie, spécialiste du droit canonique, a expliqué vendredi devant le tribunal correctionnel de Bruxelles que l'électromètre, utilisé par l'Eglise de la Scientologie pour procéder à une analyse (audition) de ses paroissiens, peut être considéré comme un objet sacré, à condition qu'il soit perçu ainsi par la communauté. Il était interrogé comme témoin par la défense.