Procès De Gelder: "Je suis un peu restée sur ma faim"
"Je suis restée sur ma faim, car j'avais pensé que Kim De Gelder aurait tout de même raconté un peu ce qui s'est passé dans la maison, comment il y a pénétré", a déclaré mercredi Hilde, une des filles d'Elza Van Raemdonck, à l'issue de la journée de procès de Kim De Gelder.
La journée de mercredi a à nouveau été consacrée à l'assassinat d'Elza Van Raemdonck, tuée de 17 coups de couteau par Kim De Gelder le 16 janvier 2009 dans sa chambre à coucher. Kim De Gelder a donné un peu plus d'explications sur les circonstances de l'assassinat, ce qu'il refusait encore de faire la veille. "J'ai trouvé cette journée très chargée, surtout émotionnellement", a déclaré la fille de la victime. "J'ai revécu toute cette journée, ainsi que les jours qui ont suivi." Les déclarations de l'accusé lui ont donné "un sentiment étrange". Elle aurait voulu savoir si sa mère avait souffert et combien de temps Kim De Gelder était resté près d'elle. Selon elle, sa mère a dû se défendre. "Ils m'ont dit que tout s'était passé très vite. Je peux difficilement le croire. Maman était une femme forte, elle ne se laissait pas faire."
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Le médecin d'Elza Van Raemdonck vivement critiqué
La juge d'instruction Evi Muylaert a critiqué mardi le médecin de famille d'Elza Van Raemdonck, au procès de Kim De Gelder. Le médecin voulait délivrer un certificat de décès naturel, malgré les nombreuses coups de couteau. Le médecin doit venir témoigner plus tard. -
De Gelder au président: "J'en ai marre de votre attitude"
"J'en ai marre de votre comportement. Mon avocat répondra pour moi, dorénavant", a éclaté Kim De Gelder mardi après-midi, alors que le président de la cour d'assises de Flandre orientale lui posait une question. -
Kim De Gelder était un enfant surprotégé
Le président de la cour d'assises de Flandre orientale Koen Defoort a entamé lundi matin l'interrogatoire de Kim De Gelder en retraçant avec lui son enfance et son adolescence. Le jeune homme de 24 ans comparaît pour quatre assassinats et 25 tentatives d'assassinat en janvier 2009. -
Kim De Gelder ne tue pas les gens qu'il aime
"Pourquoi des inconnus? Parce que les personnes qu'on connaît, qu'on aime bien, on ne les tue pas", a expliqué lundi matin Kim De Gelder, accusé devant la cour d'assises de Flandre orientale de quatre assassinats et 25 tentatives d'assassinat. -
Update
"Si je devais le croiser, je lui sauterais à la gorge"
Le mari d'Elza Van Raemdonck, la première victime de Kim De Gelder, a livré mercredi un témoignage émouvant devant la cour d'assises de Flandre orientale. "Elle me manque", a-t-il notamment déclaré. "Si je devais le croiser, je lui sauterais à la gorge", a-t-il dit de Kim De Gelder.
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Procès De Gelder: le président menace d'évacuer le père d'une victime
Alors que le président Koen Defoort demandait si quelqu'un avait une objection quant à la présence des parents de Kim De Gelder, accusé de quatre assassinats et 25 tentatives d'assassinat en janvier 2009, dans la salle de la cour d'assises de Flandre orientale dès mardi prochain, le père d'un des deux bébés tués a protesté vigoureusement. Le président lui a demandé de se calmer, sous peine de le faire expulser de la salle d'audience. -
Les parents De Gelder interdits de procès jusqu'à leur témoignage
Les parents de Kim De Gelder, Nic et Katia, ne pourront pas assister au procès avant leur témoignage, prévu le 13 mars, a décidé le président de la cour d'assises de Flandre orientale lundi après-midi. -
Update
Kim De Gelder évoque son périple meurtrier
"J'ai levé le couteau lentement, pour rester calme, et j'ai dit en lui posant le couteau sur la gorge: 'Madame, j'aimerais que vous restiez calme, ceci est une attaque'", a détaillé Kim De Gelder lundi après-midi devant la cour d'assises de Flandre orientale, alors qu'il retraçait les différentes "étapes", comme il les a qualifiées lui-même, de son périple meurtrier dans la crèche Fabeltjesland à Saint-Gilles-Lez-Termonde le 23 janvier 2009.