Très proche du prince Gabriel de Belgique, la princesse Amalia évoque son avenir amoureux

Si son présumé couple avec le prince Gabriel de Belgique intéresse autant, c’est parce qu’une loi datant de 1830 pourrait les empêcher de construire une relation stable et durable. En effet, peu après la déclaration d’indépendance de la Belgique en 1830, le Congrès national - qui a ensuite établi la Constitution - a publié le décret n° 5 du 24 novembre 1830, qui stipule que “les membres de la Maison d’Orange-Nassau sont à jamais exclus de tout pouvoir ou autorité en Belgique”. On comprend donc qu'une possible demande en mariage de Gabriel à Amalia irait à l’encontre de notre Constitution. 

D’ailleurs, d’après ses dires, la princesse Amalia a bien conscience de la difficulté de se lancer dans une relation amoureuse qui ne serait pas soutenue par le Parlement. “Si c’est l’homme qui me soutient, que j’aime, avec qui je veux passer ma vie et que le Parlement n’approuve pas, alors, nous devrons simplement voir ce que je peux faire”, explique l’adolescente. “Je ne peux pas faire un choix à mes dépens”, ajoute-t-elle, en précisant qu’elle ne pourrait pas “donner le meilleur” d’elle-même dans une relation qui ne serait pas soutenue par les élus. Dans son ouvrage, elle confie aussi avoir un faible pour les garçons allemands, “plus galants et mieux élevés”. 

La princesse Amalia évoque ensuite sa santé mentale dans son livre, un sujet de plus en plus mis en avant par différentes célébrités internationales. “Je ne pense pas que ce soit tabou. Et je n’ai aucun problème à dire ça en public. Parfois, tout devient trop pour moi, l’école, les amis, et puis je parle à quelqu’un”, explique-t-elle, citée par RTL Nieuws. “Je pense qu’il est tout à fait normal de parler à un professionnel de temps en temps. Tout le monde parle d’alimentation saine et de sport. Et c’est aussi très important. Mais combien est-il important de préserver sa santé mentale? Vous ne pouvez pas avoir l’un sans l’autre.” 

Le prince Gabriel et la princesse Amalia en couple? Cette loi de 1830 pourrait leur mettre des bâtons dans les roues