"Je n'ai pas agressé Sarkozy, je m'y suis accroché"
UpdateL'homme qui a "agressé" Nicolas Sarkozy s'explique longuement dans le journal Le Parisien/Aujourd'hui en France. Il affirme qu'il n'a jamais voulu agresser le président français mais qu'il s'est "accroché" à lui pour éviter de tomber.
Alors qu'il serrait des mains dans la petite ville de Brax (Lot-et-Garonne), Nicolas Sarkozy avait été violemment agrippé et attiré vers la foule. L'incident, filmé, a rapidement fait l'actualité. Mais l'homme à l'origine de cette bousculade, Hermann Fuster, un fonctionnaire de 32 ans au "look rock", prétend qu'il ne visait pas l'homme mais sa politique. "Il n'a jamais été question de l'agresser."
Il explique dans Le Parisien: "J'ai d'abord tenté de lui serrer la main pour engager la conversation. Il est passé devant moi sans la serrer. Du coup, j'ai voulu lui taper sur l'épaule (...) Mais, au moment où ma main a touché son costume, les gardes postés derrière moi m'ont attrapé et projeté en arrière. Comme toute personne qui bascule en arrière, j'ai tenté de m'accrocher à quelque chose pour éviter de tomber. J'ai donc saisi l'épaulette de Sarkozy en l'entrainant dans ma chute. Ce qui apparaît comme une agression était en fait un réflexe humain."
Condamné à six mois de prison avec sursis, Hermann Fuster est prêt à présenter ses excuse à Nicolas Sarkozy, ayant fait "une grosse connerie", mais ne souhaite plus s'exprimer médiatiquement ou politiquement, ne souhaitant pas "devenir un porte-drapeau de l'antisarkozysme."
Apprenant à la gendarmerie que toute la scène "passe en boucle" dans les médias, il confie avoir été "estomaqué". "Je me suis dit que j'avais fait une grosse connerie", se rappelle-t-il. Le jeune homme, contractuel au conservatoire d'Agen est suspendu depuis cette affaire.
Le lendemain, il dit avoir été "soulagé" de ne pas aller en prison, alors que le procureur avait requis neuf mois, dont trois ferme. Au total, "cette histoire a eu un impact positif" pour M. Fuster, qui a "arrêté de fumer du cannabis" et qui, depuis, sort "davantage avec ses amis". (7sur7/afp)
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