Marc Van Ranst et Willem Engel.
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Marc Van Ranst et Willem Engel. © Photo News

Le Néerlandais Willem Engel, qui avait attaqué Van Ranst en justice, a été arrêté

Le Néerlandais Willem Engel, connu pour son scepticisme envers le coronavirus et les vaccins anti-Covid, et qui avait attaqué en diffamation le virologue belge Marc Van Ranst, a été interpellé mercredi matin, a annoncé un juriste qui l’assiste régulièrement, Jeroen Pols, sur Twitter. Le ministère public néerlandais s’est borné à indiquer qu’un Rotterdamois de 45 ans avait été arrêté pour provocation, en raison de “messages incendiaires liés au corona” publiés sur les réseaux sociaux pendant une longue période.

  1. A partir du 1er juillet, le tarif social pour l'énergie sera supprimé pour 400.000 ménages: combien devront-ils payer en plus?
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    A partir du 1er juillet, le tarif social pour l'énergie sera supprimé pour 400.000 ménages: combien de­vront-ils payer en plus?

    La fin du tarif social pour l’énergie approche à grands pas pour plus de 400.000 ménages. A partir du 1er juillet, ils seront redirigés vers les tarifs commerciaux sur le marché, suite à quoi leur facture énergétique sera facilement augmentée de 1.000 euros. Test Achats craint que certains fournisseurs d’énergie n’accordent pas leur meilleur tarif, contrairement à ce que la loi prescrit. Monenergie.be a mené une petite enquête auprès des différents fournisseurs d’énergie.
  2. Les poursuites d'un anti-vax néerlandais contre Marc Van Ranst jugées irrecevables
    Mise à jour

    Les poursuites d'un anti-vax néer­landais contre Marc Van Ranst jugées irreceva­bles

    Le parquet a requis mercredi, devant le tribunal correctionnel de Malines, l’irrecevabilité des poursuites pénales engagées par le Néerlandais Willem Engel, connu pour sa défiance envers les vaccins anti-Covid, à l’encontre du virologue belge Marc Van Ranst. Le Néerlandais a déposé plainte pour calomnies et diffamation après que le scientifique l’eut prétendument traité d’escroc, de coronasceptique et d’extrémiste dans un article de journal et sur Twitter. Pour le parquet, si les faits sont avérés, ils relèveraient du délit de presse, jugé aux assises, et ne sont donc pas de la compétence du tribunal correctionnel.