Les dirigeants européens s'accordent une pause de deux heures
Le sommet des chefs d'État et de gouvernement européens consacré à l'élaboration du cadre budgétaire 2014-2020 a été interrompu pour deux heures vendredi, après une nuit complète de négociations et tractations en tous sens.
Les traits tirés pour certains, plus détendus pour les autres, les dirigeants européens ont quitté tour à tour sur le coup de 10h00 le Juste Lipse, siège du Conseil européen, pour embarquer dans leur voiture respective. Ils devraient vraisemblablement mettre cette pause à profit pour un retour vers leur hôtel afin de se rafraîchir quelque peu après ce marathon nocturne. Le Premier ministre belge Elio Di Rupo, visiblement fatigué mais souriant, a brièvement salué la presse avant de prendre place dans sa voiture de fonction. La reprise des négociations collectives est annoncée pour midi. Les Vingt-sept doivent se mettre d'accord sur le niveau de dépenses de l'Union européenne jusqu'à la fin de la décennie. La dernière proposition du président du Conseil Herman Van Rompuy suggère de fixer le niveau des paiements à 908,4 milliards, soit une réduction nominale des dépenses par rapport à la période d'engagement actuel (2007-2013). Une première dans l'histoire européenne.
Gratis onbeperkt toegang tot Showbytes? Dat kan!
Log in of maak een account aan en mis niks meer van de sterren.Aussi dans l'actualité
-
Sommet crucial pour financer l'UE jusqu'en 2020
-
Guide-epargne.be
Que se passe-t-il avec mon plan d’épargne-pension si je décède?
Ceux qui épargnent pour leur pension, constituent un capital supplémentaire en vue de leur retraite. Ce capital devra aussi leur permettre de bénéficier d’un niveau de vie décent ultérieurement. Mais que se passera-t-il au cas où la personne épargnant pour sa pension décéderait plus tôt que prévu? Qui recevra l’argent dans ce cas? Et ce bénéficiaire sera-t-il imposé sur cette somme? Ci-dessous, Guide-epargne.be vous fournit un aperçu de la situation. -
Le sommet européen débute avec six heures de retard
Les chefs d'Etat et de gouvernement européens ont entamé jeudi peu avant 21H00, avec près de six heures de retard, leurs délibérations plénières sur le cadre budgétaire 2014-2020 de l'Union. Ils n'ont toutefois reçu encore aucun texte de compromis. -
Guide-epargne.be
Pourquoi les grandes banques augmentent-elles leurs taux d'épargne moins rapidement que les petites?
Vous souvenez-vous de l’époque où les comptes d’épargne étaient encore fort rentables? Ces temps vont-ils revenir? Les derniers mois, plusieurs banques belges ont augmenté leurs taux d’épargne. Même les grandes banques l’ont fait finalement, mais avec une certaine réticence. Pourquoi ne sont-elles pas enclines à augmenter leurs taux d’épargne lorsque la Banque Centrale Européenne (BCE) augmente son taux? Guide-epargne.be a cherché l’explication. -
Sommet UE: "Pas d'accord dans l'immédiat"
Alors que les négociations budgétaires européennes se traînent depuis plus de douze heures, le Premier ministre belge Elio Di Rupo a fait une pause-sandwich peu commune au bar de la presse du Juste Lipse, où il a rapidement été assailli de journalistes. Il ne leur a pas annoncé d'accord dans l'immédiat. Plusieurs heures seront nécessaires avant de parvenir à un éventuel compromis, a-t-il indiqué.
-
Independer
Acheter une voiture hybride rechargeable avant juillet: ce que ça implique fiscalement
-
Le budget de l'UE sous la coupe des intérêts nationaux
Un peu plus de deux mois après un premier échec en novembre dernier, l'Union européenne était à nouveau sous haute tension jeudi soir à Bruxelles en raison de la volonté affichée par plusieurs dirigeants de défendre leurs intérêts nationaux lors d'un nouveau sommet consacré au budget européen pluriannuel 2014-2020. -
Schulz s'inquiète de la dette "grave pour les générations futures"
Le président du Parlement européen, Martin Schulz, a appelé les dirigeants européens à prendre au sérieux l'accumulation de dizaines de milliards d'euros de factures impayées par l'Union européenne, en raison d'un décalage comptable entre crédits d'engagement et crédits de paiement. Évalués à plus de 200 milliards, ces paiements en retard, connus sous le nom de "reste à liquider" (ou RAL), posent un problème "très grave pour les générations futures", a-t-il dit.