En l’absence de consensus sur un nom, la plupart des partis avaient appelé à voter blanc lors de ce tour de chauffe dans l’hémicycle de la Chambre des députés. Le deuxième tour se tiendra mardi après-midi.
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En l’absence de consensus sur un nom, la plupart des partis avaient appelé à voter blanc lors de ce tour de chauffe dans l’hémicycle de la Chambre des députés. Le deuxième tour se tiendra mardi après-midi. © EPA

Présidentielle en Italie: pas de fumée blanche à l’issue du 1er tour

Pas de fumée blanche au Parlement italien lundi soir à l’issue du 1er tour pour élire le président de la République, un scrutin a priori sans grand enjeu pour une fonction largement protocolaire mais qui pourrait aboutir à un délicat jeu de chaises musicales si le Premier ministre Mario Draghi était élu.

  1. L’Italie plongée dans le poker menteur de la présidentielle

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    Le suspense bat son plein en Italie alors que sa classe politique devra élire un nouveau président de la République à partir de lundi prochain et du premier tour d’un scrutin singulier, propice aux coups de théâtre. Entre candidats publics ou secrets, coalitions fragiles, tactiques dignes d’une compétition sportive et incertitudes, le jeu politique bat son plein pour désigner le successeur de Sergio Mattarella (80 ans). Car le seul prétendant officiel, Silvio Berlusconi, ne bénéficie a priori pas du soutien nécessaire pour être élu.