Claire Chazal était invitée sur les ondes de France Inter pour la promotion de son émission “Passage des arts”. Interrogée sur l’affaire PPDA, la présentatrice a d’abord souligné l’importance de la libération de la parole des femmes à ce sujet. “Il est bien sûr normal et important que les femmes parlent enfin. Il y a des violences conjugales, et bien souvent une impuissance des femmes, en tout cas dans certains milieux. Je trouve essentiel que les choses puissent être dites un peu mieux”, a confié la présentatrice. 

Cependant, la femme de 64 ans regrette que le père de son fils soit jugé par “un tribunal de l’opinion”. “Je suis pour la complexité des affaires, l’écoute des deux parties, mais souvent une seule voix est entendue”, a-t-elle ajouté. “Concernant Patrick, je peux dire et même assurer que bien qu’étant un séducteur, aimant conquérir et même disons-le, multiplier les conquêtes, il ne le fait jamais dans la violence ni dans la force. Ce qu’il aime avant tout, c’est séduire, convaincre. Il a un orgueil qui fait que charmer, être aimé, c’est ce qu’il souhaite avant tout.” 

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Un témoignage qui va dans le même sens que celui de Jean-Pierre Pernaut, qui a pris la défense de son ex-collègue plus tôt cette semaine. Le journaliste avait affirmé sur RMC: “C’est un dragueur. Il aimait discuter avec les femmes. Il est dans la vie comme il est dans ses livres. Il écrit remarquablement bien. Il aime parler. Les témoignages des gens dans Le Parisien, ils sont mensongers.” 

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Hier, Patrick Poivre d’Arvor s’est exprimé pour la première fois à la télévision depuis qu’il est accusé de viols par l’écrivaine Florence Porcel dans l’émission “Quotidien”. “Il ne s’est rien passé. J’ai dû voir cette femme peut-être cinq ou six fois maximum en 17 ans. Elle m’a beaucoup écrit, à sa demande, tout le temps, en permanence. Elle m’a demandé des services, de lui donner des interviews”, a-t-il notamment expliqué. 

“Ce que je peux vous dire, c’est que de ma vie, jamais je n’ai accepté une relation qui ne serait pas consentie ou une relation qui serait forcée, qu’elle soit sentimentale ou sexuelle. Jamais de ma vie”, a affirmé l’ex-présentateur du JT de 20 heures de TF1. 

L’homme a indiqué avoir déposé une “plainte pour dénonciation calomnieuse” à l’encontre de l’écrivaine et des plaintes en diffamation contre Le Parisien qui a publié ces accusations. 

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