Ce garçon est atteint du syndrome du loup-garou
VideoCet adolescent indien âgé de 13 ans souffre d'hypertrichose, une maladie rarissime aussi connue sous le nom de "syndrome du loup-garou"...
Partager par e-mail
Lalit Patidar est originaire de Ratlam, ville indienne située dans l'État du Madhya Pradesh (centre du pays). Sa maladie rare se caractérise par une pilosité abondante et invasive, notamment sur le visage, presque entièrement dissimulé derrière une épaisse toison.
"Je suis né comme ça donc j'ai appris à vivre avec", confie-t-il dans un reportage qui lui est consacré (voir vidéo ci-dessus). Si l'ado semble en effet ne pas trop s'apitoyer sur son sort, la vie n'est néanmoins pas simple tous les jours: "Les poils entrent dans mes yeux. Quand je mange, ils entrent dans ma bouche. Parfois, j'ai même du mal à respirer normalement", avoue-t-il.
L'hypertrichose est le symptôme d'un dérèglement hormonal qui se manifeste de cette façon sur une partie ou la totalité du corps.
La famille de Lalit cultive l'espoir d'un changement hormonal qui pourrait survenir lors de la puberté, vers ses 15 ou 16 ans, et atténuer voire éradiquer naturellement l'évolution de la maladie. "Si ce n'est pas le cas, une opération pourra alors être envisagée", explique le père.
Un reportage fascinant à découvrir ci-dessus.
Gratis onbeperkt toegang tot Showbytes? Dat kan!
Log in of maak een account aan en mis niks meer van de sterren.Aussi dans l'actualité
-
5 réflexes à adopter pour déstresser rapidement et simplement
Près de 80% des Belges ont ressenti ces derniers mois du stress, de l’anxiété ou encore ont connu des insomnies, selon une enquête menée par l’application de méditation Petit BamBou. La faute à qui? Encore et toujours, la pandémie de Covid-19 et ses insécurités. Voici 5 réflexes à intégrer dans votre quotidien pour faire disparaître le stress de votre vie. -
L'"homme-arbre" va devoir être réopéré au Bangladesh
Un Bangladais surnommé "l'homme-arbre" pour ses verrues impressionnantes à l'allure d'écorce, dont il a été plusieurs fois déclaré guéri, est de retour à l'hôpital et devra subir de nouvelles opérations, a indiqué mardi son équipe soignante. -
La vidéo de cette petite fille obsédée par le gel hydroalcoolique devient virale
C’est une vidéo tristement attendrissante qui fait le tour de la toile depuis quelques jours. On y voit une petite fille à la recherche de gel hydroalcoolique partout. Des images qui en disent long sur la “génération Covid-19" et nos nouveaux réflexes. -
“C’était mon médecin de famille”: Najoua Belyzel, victime d’attouchements sexuels durant son enfance
Najoua Belyzel, la chanteuse du titre “Gabriel”, a révélé avoir été victime d’attouchements sexuels de la part de son médecin traitant durant son enfance. -
“Tu as grossi?”: la réponse cash de Caroline Receveur à ceux qui critiquent sa prise de poids
Alors qu’elle avait posté une série de photos d’elle en bikini sur son compte Instagram, Caroline Receveur a reçu en réponse un bon nombre de questions allant dans le même sens: l’entrepreneuse attend-elle son deuxième enfant? Voici sa réponse cash.
-
sondage
La cinquième “Tournée minérale” débute ce lundi: comptez-vous relever le défi?
La campagne "Tournée minérale", qui met au défi les Belges, depuis 2017, de ne pas consommer d'alcool durant le mois de février, revient cette année pour une cinquième édition "un peu différente", qui débute ce lundi, mais avec la même philosophie de mise en garde contre les méfaits de l'alcool. -
Un Belge sur deux en détresse psychologique, le lourd tribut des mesures sanitaires
Une étude de l'UCLouvain et de l'UAntwerpen, publiée dans Le Soir mercredi, met au jour le niveau de détresse psychologique liée aux mesures sanitaires. -
Sandy a lancé son studio de yoga en pleine crise et attend à présent de pouvoir ouvrir
La période que nous traversons n’est facile pour personne, et surtout pas pour les indépendants, qu'importe leur secteur d’activité. Pourtant, certains ont eu le courage, l’audace même, de se lancer malgré la crise. C’est le cas de Sandy Cadorin, qui a ouvert Yogi Power Studio, à Chênée. À présent, elle n’attend plus que l’aval du gouvernement pour pouvoir accueillir ses élèves.