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BELGA PHOTO NICOLAS MAETERLINCK © BELGA

Pourquoi a-t-on mal au bras après avoir été vacciné et comment soulager la douleur?

Vous l’avez ressentie, cette douleur au bras quelques heures après votre passage dans un centre de vaccination? Vous n’êtes pas seul. Loin de là. D'après une étude américaine, elle apparaît chez plus de 80% des personnes qui ont reçu un vaccin anti-Covid Pfizer ou Moderna. Mais pourquoi? Explications. 

  1. À vos mouchoirs, la saison des pollens arrive

    À vos mouchoirs, la saison des pollens arrive

    Le nez qui chatouille, la gorge qui gratte, les yeux irrités... Ces symptômes, les personnes allergiques au pollen les connaissent bien et les éprouvent chaque année lors de la saison pollinique de l’arbre ou de la plante à laquelle elles réagissent. Pour les aider à mieux prévoir cette période peu agréable, l’Institut royal météorologique (IRM) et Sciensano lancent un modèle de prévision du risque d’allergie au pollen de bouleau et de graminées, annonce mercredi l’Institut de santé publique, qui prévient : la saison pollinique du bouleau est imminente.
  2. Un boost de libido grâce à un spray nasal? “Certains l’appellent le ‘viagra féminin’...”

    Un boost de libido grâce à un spray nasal? “Certains l’appellent le ‘viagra féminin’...”

    En tant que femme, sera-t-il bientôt possible de booster sa libido en achetant une simple pilule ou un spray nasal? Ce scénario pourrait effectivement devenir réalité grâce à ‘kisspeptine’, un médicament lié au désir sexuel spécialement conçu pour la gent féminine. Dans les colonnes de Het Laatste Nieuws, la Belge Julie Bakker, un personnage clé de cette recherche révolutionnaire, explique son fonctionnement. “Certains l’appellent le ‘viagra féminin’, mais c’est trompeur.”
  3. Les touristes belges pas découragés par les zones rouges: “Au maximum, une réservation sur dix est annulée”

    Les touristes belges pas découragés par les zones rouges: “Au maximum, une réservati­on sur dix est annulée”

    Ça passe au rouge, on s'arrête? Non. Les Belges ne semblent pas effrayés à l’idée de rejoindre une zone où l’évolution sanitaire impose le code d'alerte le plus élevé. Le constat est partagé par les compagnies aériennes et les agences de voyages qui dénombrent peu de désistements. “Parmi ceux qui ont déjà réservé, au maximum un sur dix va annuler. Les nouvelles réservations sont moins nombreuses.”