Un tas de larves de ver solitaire découvert dans le cerveau d'une jeune femme souffrant de migraines
AustralieEn Australie, une femme de 25 ans a eu la mauvaise surprise de découvrir qu’elle avait un amas de larves de ténia dans son cerveau. Souffrant de maux de tête et d’une baisse de la vue depuis plusieurs années, les médecins avaient d’abord diagnostiqué un kyste. Elle est devenue la première australienne à développer cette pathologie sans quitter son pays, rapporte Newsweek.
Partager par e-mail
La jeune femme qui souffrait depuis plusieurs années avait décidé de consulter un médecin après l’aggravation des symptômes, notamment des migraines récurrentes et une baisse de la vue. Les spécialistes avaient alors diagnostiqué un kyste au cerveau.
Mais c’est au moment de l’opération pour retirer la grosseur que les médecins se sont rendu compte qu’un tas de larves de ténia se nichaient à l’intérieur du cerveau de la jeune australienne.
Un cas qui interroge
Depuis plusieurs années, elle souffrait en fait d’une infection due à l’ingestion d’œufs de ver solitaire. Selon une étude du cas publiée le 21 septembre dans The American Journal of Tropical Medicine and Hygiene, l’amas de larves mesurait 8 millimètres.
La jeune femme est devenue la première patiente à être contaminée par la neurocysticercose sans quitter l’Australie. Les patients souffrant de cette pathologie reviennent souvent de certaines régions d’Afrique, d’Asie ou d’Amérique latine d'où provient le ténia. L'infection est causée par l’ingestion d’œufs de ténia du porc qui se déplacent dans le corps via les vaisseaux sanguins et se logent dans certains organes, muscles ou dans le système nerveux central.
Pour la jeune femme, tout est rentré dans l’ordre. Aucun autre kyste n’a été détecté et elle n’a eu besoin d’aucun autre traitement ou opération.
Gratis onbeperkt toegang tot Showbytes? Dat kan!
Log in of maak een account aan en mis niks meer van de sterren.Aussi dans l'actualité
-
Pfizer examine s'il est possible de conserver son vaccin plus longtemps entre 2 et 8°C
L'entreprise pharmaceutique Pfizer étudie la possibilité de stocker son vaccin contre le coronavirus pendant plus de cinq jours entre 2 et 8 degrés, soit la température d'un réfrigérateur ordinaire, selon une information rapportée jeudi par Radio 2 et confirmée par Pfizer. Le vaccin reste actuellement au frigo pendant un délai de 5 jours après avoir été conservé à -70°C et décongelé. -
Les masques en tissu interdits dans de nombreux hôpitaux: “Ils ne sont pas assez lavés donc pas assez hygiéniques”
Les masques en tissu sont désormais interdits dans de nombreux hôpitaux. Dans la province d’Anvers, plusieurs hôpitaux exigent désormais le port du masque buccal chirurgical. -
Les soignants exposés au coronavirus seront vaccinés en priorité
Les professionnels des soins qui sont exposés à un risque accru d'infection au coronavirus seront les premiers à être vaccinés après les résidents et le personnel des maisons de repos, a indiqué mercredi la conférence interministérielle (CIM) de la Santé publique. Cela concerne principalement les médecins et soignants en soins intensifs, aux urgences ainsi que dans les services "Covid", stagiaires inclus. -
Des réactions inflammatoires liées au coronavirus observées chez plusieurs enfants
Les enfants contaminés par le coronavirus présentent rarement des symptômes. Mais plusieurs semaines plus tard, des réactions inflammatoires peuvent apparaître. C'est en tout cas ce qu'ont observé les hôpitaux pédiatriques suisses, qui ont dû prendre en charge plusieurs cas ces dernières semaines, selon l'hôpital pédiatrique universitaire de Zurich. -
L’expert Geert Molenberghs suggère de fermer les frontières
Face au nombre grandissant de nouvelles infections au variant britannique du coronavirus en Irlande, le biostatisticien Geert Molenberghs (UHasselt/KU Leuven) suggère d'envisager la fermeture des frontières. Cette décision serait "une mesure judicieuse d'un point de vue épidémiologique", affirme-t-il.
-
Reportage Premières vaccinations dans les homes de Charleroi, le personnel est réticent
Comme prévu et annoncé, les vaccinations contre la Covid-19 à Charleroi ont démarré mercredi dans les maisons de repos. Le Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Charleroi et le Grand Hôpital de Charleroi (GHdC) se sont chargés de transporter les doses. La résidence Jules Hustin à Marchienne-au-Pont faisait partie des premières servies ce jeudi. Tout s’y est déroulé sans encombre. Nous avons même pu interroger des personnes âgées qui y logent... depuis l’entrée de l’immeuble. Histoire d’éviter que le virus ne s’introduise dans le home de l’extérieur! -
Kuehne+Nagel signe un accord avec Moderna pour la distribution des vaccins
Le groupe suisse de transport et de logistique Kuehne+Nagel a annoncé jeudi la finalisation d'un accord avec le laboratoire américain Moderna pour la distribution de son vaccin contre le coronavirus. -
Testée positive, elle passera quand même ses examens en présentiel
Les examens, dont certains en présentiel, ont débuté ce lundi pour de nombreux étudiants du supérieur. À l’Université de Liège, on demande aux étudiants de ne pas venir s’ils sont positifs à la Covid, mais ces recommandations ne seront pas respectées par tous, comme le craignait Victor, que nous avions interrogé à ce sujet.
Les plus lus
-
La moyenne des nouvelles infections quotidiennes repasse sous la barre des 2.000
-
Un examen requis après le décès d'un octogénaire vacciné il y a 5 jours
-
Un troisième reconfinement dû aux variants du coronavirus “est tout à fait envisageable”, selon Frédérique Jacobs
-
Les masques en tissu interdits dans de nombreux hôpitaux: “Ils ne sont pas assez lavés donc pas assez hygiéniques”
-
“D’autres variants risquent d’apparaître dans le futur” - Le seuil de 75 admissions repoussé à début mars
Les plus partagés
-
Un examen requis après le décès d'un octogénaire vacciné il y a 5 jours
-
Un troisième reconfinement dû aux variants du coronavirus “est tout à fait envisageable”, selon Frédérique Jacobs
-
Les masques en tissu interdits dans de nombreux hôpitaux: “Ils ne sont pas assez lavés donc pas assez hygiéniques”
-
La Belgique risque de manquer de seringues qui permettent d’économiser une dose de vaccin
-
Emmanuel André: “Les pays européens sont dans les starting-blocks d’une troisième vague”
