La longue durée de l'étude est nécessaire car de nombreuses formes de cancer n'arrivent à maturité qu'après une période de dix ans, explique le professeur Paul Elliot, qui est en charge de la partie britannique de l'étude.

La manière d'utiliser son gsm et le temps que passent les cobayes au téléphone seront pris en compte. L'endroit où l'usager garde son gsm sur lui (poche, sac,...) comptera également.

Les participants à l'étude doivent régulièrement remplir un formulaire en ligne précisant l'utilisation du gsm, la santé de l'utilisateur et son style de vie. Alors que la plupart des études précédentes se penchaient sur le lien gsm-cancer, il s'agit ici d'enquêter sur la santé globale des participants. (th)