“Il y a trop de sacrifices”: comment ces trois ex-espoirs du tennis belge ont renoncé à leur rêve
EntretienIls sont amis depuis une quinzaine d’années. Ils sont d’anciens espoirs du tennis belge qui partageaient la même chambre durant leur formation à l’AFT de Mons. Ils ont évolué durant quelque temps sur le circuit professionnel, mais ils ont décidé d’arrêter leur carrière de manière précoce. Nous avons réuni Clement Geens (ex-245e ATP), Simon Stevens (ex-1352 ATP) et Omar Salman (ex-464 ATP) pour une conversation passionnante autour de la petite balle jaune. Pourquoi et comment ont-ils renoncé à leur rêve de percer au plus haut niveau? Quelles difficultés ont-ils rencontrées? Quelle est leur vision du tennis? Les trois ex-tennismans de la génération 96' se livrent à cœur ouvert.
Simon: Moi, je rêvais surtout des tournois que je regardais à la télévision. La Coupe Davis. Les Jeux Olympiques. Et surtout, Roland Garros. C’était ça qui me faisait rêver.
Clément: On allait à Roland Garros tous les ans avec Sim et mes parents. On y allait en voiture. Parfois juste une journée. Parfois deux, et on restait dormir à l’hôtel. Tout petit, j’étais fan de Leyton Hewitt. Ce qui me faisait rêver, c’était la Coupe Davis et Roland Garros avec des stades pleins. C’était ça qui était excitant. C’était de ça que je rêvais la nuit quand j’avais 7 ou 8 ans. En grandissant, c’était plutôt de rentrer dans le top 100. On nous a mis ça dans la tête aussi. C’était l’objectif symbolique. On nous disait que quand tu atteignais ça, tu jouais tous les tableaux finaux des Grands Chelems, tu gagnais bien ta vie et tu jouais les gros tournois. Donc à partir de 12/14 ans, c’est devenu l’objectif. Mais ce n’est pas pour ça que j’ai commencé.
Omar: Je jouais juste pour le plaisir quand j’étais petit. Et quand je suis rentré à la fédération à l’âge de 11 ans, l’objectif c’était d’aller le plus loin possible, donc le top 100.
Omar: Je l’ai compris assez tôt. J’avais une pression financière. J’ai quitté la fédération belge fin 2017 et je suis arrivé en Espagne pour m’entraîner. Je devais payer un logement, mon entraîneur et l’académie. Alors qu’avant, à la fédération, je ne payais rien. Je pouvais voyager et jouer sans pression. Mais quand j’ai pris cette décision là, j’avais besoin d’un gros changement. Ça m’a bien servi au début. Mais rapidement, ils ont changé les règlements. Ils ont mis en place le Transition Tour*. Je me suis retrouvé de la 450e place mondial à ne plus avoir de classement. Ça m’a démoralisé. Je me souviens être allé à mon dernier tournoi en Tunisie. J’ai demandé au juge arbitre de jouer un mercredi. Il m’a fait jouer un mardi à 9h du matin. Je suis arrivé tard, il y a eu un problème avec le vol. L’endroit était dégueulasse. À 3-5 15-40 dans le dernier set, j’appelle le kiné, je lui dis que j’ai mal partout et que j’ai envie de partir. J’ai abandonné. Et depuis je n’ai plus rejoué un match sur le circuit.
Clément: Moi, c’est un peu différent. J’avais de bons résultats en juniors. Jusqu’à 18 ans, j’étais bien. Je participais aux Grands Chelems juniors. Je suis monté assez vite au classement. À 20 ans, j’étais déjà 245e. J’étais proche de pouvoir faire les qualifications de l’US Open et de l’Open d’Australie. En faisant quelques trucs différemment et étant pas blessé, j’aurais pu arriver plus haut. C’est l’enchaînement des blessures qui m’ont fait me rendre compte que ça serait compliqué de continuer. Mes amis commençaient à sortir de l’université et moi je n’avais pas étudié. Je m’éloignais de plus en plus des qualifications de Grands Chelems et je commençais à être de moins en moins aidé par la fédération. J’étais loin du compte. Tu fais pas mal de sacrifices. Tu voyages trente semaines sur l’année pour pas grand chose. J’avais envie d’autre chose professionnellement et intellectuellement.
Le niveau était juste trop haut et ce n’était peut-être pas fait pour moi.
Simon: J’ai eu deux moments clés. En juniors, j’ai eu une période où j’ai moins bien joué, les résultats ne suivaient pas donc la motivation n’était plus présente. Et quand je suis parti aux États-Unis, je me suis rendu compte qu’en plus du nombre de joueurs importants qui jouaient bien sûr le circuit juniors, il y avait encore 200 joueurs qui jouaient très bien dans le tennis universaitaire américain. Le niveau était juste trop haut et ce n’était peut-être pas fait pour moi. Je me suis donc concentré sur mes études.
Simon: C’est une décision personnelle. Mais évidemment, on en discute avec ses proches et son entraîneur.
Clément: Oui c’est personnel, en consultation avec l’encadrement et ses proches. Ils sont toujours de bons conseils. Il fallait peser le pour et le contre. Que va-t-il se passer si je continue pendant deux ou trois saisons? Qu’est-ce que peut être ma vie si je décide d’arrêter maintenant? On recherche le mieux pour soi. J’avais envie de voir d’autres choses.
Omar: Moi, j’ai arrêté quand je jouais mon meilleur tennis. Cette année-là, j’avais de très bons résultats. Je retrouvais le plaisir d’être sur un terrain de tennis. Et puis tout d’un coup, tout s’est écroulé avec le Transition Tour. Tout le monde m’a dit que je faisais une erreur d’arrêter. Je suis assez têtu. Quand je prends une décision, je ne veux pas revenir en arrière. J’ai eu des occasions de revenir sur le circuit. Je cherchais des sponsors. Mais finalement, j’ai dit non.
Omar: Aujourd’hui, non. J’ai d’autres responsabilités. J’ai deux enfants. Je suis marié. Mais si j’étais célibataire, sans enfants... honnêtement, je pourrais le tenter. Un an ou deux. Mais là non. Il faut que je gagne ma vie. Je ne peux pas gagner ma vie en jouant au tennis.
Ça ne me manque pas.
Simon: Moi non plus, il n’y a aucune chance. J’ai fait un pari avec un pote, donc je vais peut-être faire un tournoi en France cet été. Mais c’est pour le fun. J’aime ma vie comme elle est maintenant. Je joue encore beaucoup au tennis. Je fais les interclubs. Je préfère ma vie maintenant.
Clément: C’est impossible pour moi aussi de faire un retour. Toute façon, si tu veux en vivre et revenir dans le top 300, le niveau est tellement haut. Je ne joue plus beaucoup donc mon niveau est loin du compte. Il faudrait repartir de zéro. Il n’y a vraiment aucune garantie. Aujourd’hui, je travaille à la fédération de padel. J’ai plein de projets professionnels. Il faudrait tout laisser tomber. Et de toute façon, je crois que mon bras gauche ne tiendrait toujours pas. Ça ne me manque pas.
Omar: Les prize-moneys ont augmenté en Challengers et en Grands Chelems... parfois, je me demande pourquoi il n’y avait pas ça avant (rires).
Clément: Quand tu vois qu’ils offrent 7.000 ou 8.000 euros au premier tour des qualifications d’un GC. Tu fais deux heures de routes, tu vas à Roland, tu perds, tu rentres chez toi le lendemain et t’as gagné cette somme-là. Ça donne envie. Mais je sais tout ce qu’il faut faire derrière à ce niveau-là. Je n’ai plus la force. Voyager plus de trente semaines par an...
Omar: Oui, il y a trop de sacrifices.
Clément: C’est compliqué oui...
Simon: Avec la fédération, on a été vraiment bien aidé. Avec tout ce que l’on faisait, ça coûtait vraiment beaucoup d’argent. De ce côté-là, c’était vraiment top. C’était professionnel. On avait un préparateur physique, un entraîneur, un kiné, un médecin. Ce n’est pas toujours hyper individualisé car on était dans un centre de formation.
C’est quand je suis arrivé en Espagne que je me suis rendu compte que ce que j’avais à la fédération (belge), ça n’existe pas ailleurs.
Clément: Comme le dit Sim, on a eu beaucoup de chance. On a été bien accompagnés. Je n’avais pas beaucoup de frais personnels. Financièrement, je m’en sortais. Ce n’est pas ça qui a fait que j’ai arrêté.
Omar: En effet, je ne peux rien dire de négatif à propos de la fédération. Ils m’ont vraiment aidé. C’est quand je suis arrivé en Espagne que je me suis rendu compte que ce que j’avais à la fédération, ça n’existe pas ailleurs.
Omar: De mon côté, oui. Je suis dans une histoire. Il y a un dossier en cours. Ça fait quatre ans que ça dure. Normalement, je devrais avoir une réponse assez vite. Je ne peux pas donner de détails. Mais j’ai été approché. Il y a beaucoup de joueurs qui sont approchés. Ca fait malheureusement partie du tennis. Il y a des joueurs qui le font car ils ont besoin d’argent. Tant qu’il y aura des paris sportifs en live possibles dans les petits tournois, ça existera toujours.
Je ne peux pas divulguer les noms, mais il y a un joueur du top 100 actuel qui est concerné.
Clément: Indirectement, tous les joueurs ont déjà été concernés. C’est tellement présent. Personnellement, je n’ai jamais fait ça. Je n’étais pas dans le besoin. J’étais bien aidé par la fédération et ma famille est aisée. Donc financièrement, ça n’avait aucun intérêt pour moi. Je peux comprendre que certains joueurs soient tentés. Quand tu joues en doubles pour 80 euros et on te propose 1.000 ou 1.500, je peux comprendre l’attrait. Il y aura toujours des dérives. Ça pénalise les joueurs et l’image du sport.
Omar: Il y a même des joueurs du top 100 qui sont approchés. Je ne peux pas divulguer les noms, mais il y a un joueur du top 100 actuel qui est concerné.
Simon: J’ai moins été concerné. Mais un jour, j’ai reçu un message à ce sujet et j’ai gentiment refusé.
Omar: Ici en Espagne. Il y a des personnes qui ne font pas partie du club, avec leur téléphone. Ils parient en live. Il y a un retard avec le live score sur les sites de paris sportifs. Donc, ces gens-là se font beaucoup d’argent. Et toi, quand t’es en train de jouer, tu vois que ces personnes t’insultent parce que t’as perdu le point. Ce n’est pas top. Quand tu perds un match, tu reçois des messages d’insultes sur Instagram ou Facebook. “On va te tuer”, “t’es un escroc” “va ni**** ta mère”. Tout ça c’est à cause des paris sportifs.
Omar: Je mettrais plus d’argent dans les petits tournois. J’augmenterais les prize-moneys. J’organiserais de meilleurs tournois et dans de meilleures conditions. Ça devient plus un business qu’un sport dans certains pays, comme en Tunisie et en Egypte. Il y a des tournois toutes les semaines.
Clément: Oui il faut une meilleure répartition des prize-moneys. Il pourrait trouver des solutions pour les paris sportifs. Les joueurs pourraient bénéficier des gros contrats signés avec les sites de paris. Il faut également revoir certaines règles du tennis pour attirer de nouveaux spectateurs. La moyenne d’âge ne fait qu’augmenter. Ce sport ne va pas mourir, mais il va perdre en intérêt. Je crois que la réforme de la Coupe Davis a fait du mal au tennis pour le grand public. Il faut peut-être que ça soit plus court. Il faut rendre le tennis plus excitant télévisuellement.
Les personnalités ont du mal à ressortir. À certaines époques, il y a eu des bad-boys, comme John McEnroe. Maintenant, dès qu’un joueur casse une raquette, il reçoit un avertissement.
Simon: J’avais les mêmes idées. Il faut une meilleure répartition de l’argent. Il faut qu’il y ait plus de joueurs qui gagnent leur vie grâce au tennis. L’argent est là. Sur les règles, il faut garder l’âme du tennis. Il faut trouver des idées sur les formats de compétition. La Laver Cup, c’était incroyable. Il faut qu’il y ait moins d’arrêts pendant les matchs. Il faut que ça soit plus court. Mais quand il y a des nouveautés, les joueurs n’en veulent pas. Je n’aimerais pas être à la tête du tennis mondial... Il n’y a pas de bonnes décisions (rires).
Clément: Patrick Mouratoglou avait lancé un nouveau format de compétition dans son academy. C’était poussé à l’extrême. Parfois, ça ressemblait un peu à rien. Mais l’idée n’est pas si mal. Il y a trop de temps morts.
Simon: Oui, il y a trop de temps morts. Le règlement est souvent trop strict. Les personnalités ont du mal à ressortir. À certaines époques, il y a eu des bad-boys, comme John McEnroe. Maintenant, dès qu’un joueur casse une raquette, il reçoit un avertissement. Il faut qu’il y ait des règles, mais il faut créer un environnement où les personnalités peuvent plus se lâcher. Ce qui fait qu’on regarde le sport, c’est pour les athlètes. Kyrgios, il joue trois tournois par an, mais chaque match, je le regarde. Parce que c’est une personnalité. Il se passe toujours quelque chose. Aujourd’hui, tout le monde a le même style de jeu et dès qu’un joueur balance sa raquette, il est averti. Ça devient monotone. Il faut oser aller vers des règles où les joueurs peuvent davantage s’exprimer.
Omar: Je suis d’accord avec toi. Ça serait bien que les joueurs puissent par exemple parler à leur entraîneur ou insulter sur le terrain. Ce n’est pas grave. Les joueurs sont tout timides, ils ne disent rien. C’est dommage. Il faut qu’ils s’expriment plus sur le terrain. Pour le show, c’est bien.
Clément: C’est toujours intéressant d’écouter ce que le coach dit à son joueur. Pour quelqu’un qui s’intéresse au tennis, c’est sympa de voir ça. Il faut que ça soit un peu moins impersonnel. Je n’ai rien contre Sinner, mais il ne dégage pas grand chose. Il vient, il fait son match, il ne dit pas grand chose. Il joue parfaitement. Mais ce n’est pas hyper excitant. Il y a des pistes à creuser pour que les spectateurs se sentent plus concernés pendant un match. Il faut des gars comme Kyrgios. Tout ce qui fait n’est pas bien. Mais globalement, il fait du bien au tennis.
Simon: Ils sont forts. Ils sont jeunes en plus. Je les trouve déjà très professionnels et matures. Ils sont très entreprenants, c’est intéressant. Ils ont un niveau de jeu, par rapport à leur âge, qui est exceptionnel. On devrait avoir une bonne nouvelle génération. Il y a aussi Onclin (21 ans) et Collignon (21 ans). On va peut-être avoir une deuxième génération dorée après Steve (Darcis), les frères Rochus...
On a vraiment quatre jeunes, si on rajoute Collignon et Onclin, qui ont un gros potentiel. Le tennis belge était toujours décrié, on disait qu’on aurait plus personne après Goffin. On s’en sort pas si mal.
Clément: Blockx et Bailly sont déjà très professionnels. Ils ont les bonnes bases. Après, savoir jusqu’où ils iront, c’est dur à dire. Ils vont rentrer dans le top 200. Mais savoir s’ils vont être 22 ou 164, c’est compliqué de savoir. On a vraiment quatre jeunes, si on rajoute Collignon et Onclin, qui ont un gros potentiel. Le tennis belge était toujours décrié, on disait qu’on aurait plus personne après Goffin. On s’en sort pas si mal.
Omar: On espère pour eux qu’ils vont faire une belle carrière. Ça fera du bien au tennis belge. Mais il peut se passer tellement de choses dans une carrière. On ne sait jamais. Il faut être monstrueux pour réussir car il n’y en a que 100 qui y arrivent.
Omar: Il faut s’accrocher tous les jours. Ne rien lâcher. Si je m’étais accroché un peu plus et que j’avais été plus fort mentalement, j’aurais été d’office plus loin que mon meilleur classement. Il faut être très bien entouré et aller au charbon.
Clément: Je dirais aussi qu’il faut s’accrocher, clairement. Rester simple. Naturel. Rester eux-mêmes. Il faut prendre du recul dans les bonnes et mauvaises situations. Ils peuvent jouer pendant 20 ans. C’est long. Il n’y a rien qui presse.
Il ne faut pas laisser une émotion de court terme prendre le dessus sur une décision qui va avoir un impact sur plusieurs années.
Simon: Les gars ont 17 ou 18 ans. Si tout va bien, ils vont arrêter leur carrière vers 35 ans. Ils sont partis pour 17 ou 18 ans de carrière. Il faut prendre des décisions avec une vision sur le long terme. Il ne faut pas laisser une émotion de court terme prendre le dessus sur une décision qui va avoir un impact sur plusieurs années. Il faut prendre du recul. Mais ils ont l’air de faire du bon boulot, donc ça devrait aller pour eux.
Clément: Ce que j’aurais bien aimé avoir, c’est rester plus positif. On a tendance à être fort négatif quand on joue car on est perfectionniste. Tu veux toujours mieux faire, être mieux classé, gagner plus de matchs et d’argent. Toujours plus. Mais il faut garder le plaisir. Ils font plein de sacrifices, mais la vie est belle. Il voyage partout dans le monde. Il faut rester positif.
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